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11 février 2012

Sociologie - anthropologie

 

Sociologie - Anthropologie

27-01-12

 

I / Introduction sur la sociologie-anthropologie

 

Définitions :

  • sociologie : science sociale qui va s'intéresser aux phénomènes sociaux humains

  • ex : les singes ont un certain langage, utilisent des outils, mais il leur manque la possibilité de symboliser leur environnement (ce qui mène à l'absence de sociologie)

    • un chef est accepté parce qu'il est le plus fort

    • alors que chez les Hommes, les rois étaient de droits divins, dans un république → suffrage, régime dictatorial → charisme du chef

  • Pourquoi est ce que les Hommes acceptent-ils de vivre ensemble ?

    • Question que toute étude de sociologie essaie de comprendre

  • anthropologie sociale et ethnologie :

    • pourquoi une société existe ?

    • intérêt pour les cultures différentes

    • intérêt pour tout ce qui semblait ne pas être moderne

    • observation de l'entourage de la mort dans les hôpitaux

    • ex : symbolisation des autres sociétés de leur environnement :

      • le sociologue pense le social

      • la sociologie met en évidence que des faits qui semblent très naturels se présentent de façon très différente dans notre société

    • ex : les rôles de l'Homme et de la femme ne sont pas vue de la même façon selon les cultures comme par exemple pour la naissance

  • ethnocentrisme : considérer que sa propre culture est la seule à détenir la vérité, c'est se centrer sur sa propre culture pour étudier les autres cultures

  • en sociologie et en anthropologie on va faire une distinction entre le réel et la réalité :

    • le réel : ce qui n'a pas besoin des Hommes pour exister

    • la réalité : la manière dont les Hommes vont interpréter le réel

  • le réel ne nous intéresse que très peu, car il n'a pas d'influence sur le comportement humain

  • la réalité explique les comportements humains :

    • ex : idée que les enfants viennent d'un père → viols de guerres (idée d'une guerre qui continue) → le petit sera comme le père et contre l'ethnie de sa mère → arme d'épuration

 

Sociologue vs psychologue :

  • psychologue : s'intéresse à l'individu

  • sociologue : s'intéresse au groupe

 

Toutes les cultures vont établir un rapport particulier à la mort. La mort c'est l’indicible, l'inimaginable, personne n'est capable de comprendre ce qu'est la mort. Cet événement a été symbolisé pour essayé de donner une réalité et comprendre l’événement. On lui attribue des événements sociales. Toutes les cultures sont d'accord : l'humain va symboliser la mort en séparant le monde des vivants et des morts. On réserve un espace pour les morts, on lieux que les morts vont pouvoir habiter. On intercale entre le néant et nous, un monde des morts (ex : le paradis), mais le monde des morts n'est pas le néant.

 

Le cadavre est aussi source de grande peur. Les anthropologue on cherchés à trouver comment les étudiants on réussi à passer de l'idée de cadavre à un « simple » corps à disséquer. Le cadavre fait partie de ce que nous ne comprenons pas, son corps à encore tout les traits de l'humanité. Dans certaines culture ont expose le plus possible les cadavres pour accélérer la putréfaction et que les âmes puissent se libérer, alors que d'autre cache les cadavre (dans des frigos par exemple).

 

« Il faut tuer le mort ».

 

On retrouve un certain respect du mort, un respect dans le funérarium par exemple. On donne congé au mort parce que le mort est dangereux et qu'il faut le rendre inoffensif . On le rejette de la société des vivants, pour l'inclure dans la société des morts. Mais les morts gardent une place importante : fêtes des morts, traditions, souvenirs, photos, rappel d'une relations … Ces morts doivent être rendus inoffensifs puisqu'on les retrouve un peu dans le monde des vivants.

 

Être mort, ce n'est pas être rien. On a eu une existence et tisser des relations. Les vivants ne peuvent pas faire comme si vous n'aviez pas exister : redéfinitions de rôle (ex : morts des parents, on est toujours le fils ou la fille, mais la mort des parents fait que l'on ne nous appel plus fils ou fille, on change d'identité).

 

II / Incursions sociales

 

Incursions des morts dans le monde des vivants.

 

1 / Où se trouve l'opéré

 

Marie Christine Pouchelle :

  • pose la question du rapport à la mort lors d'une chirurgie

  • au cours d'une opérations un patient commence à montrer des signes de réveil

    • le chirurgien à l'anesthésiste : « tu l'endors ou tu le tue, mais tu fais en sorte qu'il ne bouge pas »

  • la mort est présente sur les tables d'opérations

  • on parle de moins en moins dans les blocs opératoires :

    • on envoie une opération qui tourne mal en post-opératoire pour éviter la fermeture le temps d'une enquête du bloc

  • quelle différence entre le cadavre et l'anesthésié

  • le corps inerte est une figure de la mort potentielle

  • en chirurgie on met des champs opératoire sur les patients pour cacher

  • les champs opératoires transforment les patients en opération :

    • ex : on enfonce plus un scalpel dans un corps humain, mais on opère une appendicectomie

  • on a un stress, on cache

 

La mort est également présente dans l'absence de conscience du patient :

  • où est l'opéré :

    • l'opéré est en voyage au cours de l'opération

    • même si le corps est facile à trouver

    • mais où est la conscience ???

    • mais où est ce qui anime le corps ???

    • au réveil : les anesthésistes :

      • « il est pas loin »

      • « il revient »

    • rhétorique du voyage, implique un départ

    • revenir à soi : reprise de conscience, reprise de connaissance, réanimation du corps,...

    • tout le monde est d'accord sur le « il revient à lui », idée que le quelque chose (esprit ou conscience) revient

    • si la patient revient pas à lui, c'est qu'il est mort !

    • les patients on tendance à croiser un certains nombres d'individus morts ou disparus, explication par le stress par exemple

  • les infirmières de M.C.P :

    • services postopératoires :

      • extrêmement violents car les infirmières croisaient énormément de souffrance et de mort

      • la mort est pensée comme un échec de la médecine

      • on s'abime dans ces services : on tourne, pour éviter dépression

      • le monde médical est l'un des plus violent qu'il soit (burnout)

      • on y croise des morts, de la souffrance, mais aussi des fantômes

        • selon M.C. Pouchelle

        • après acharnement thérapeutique, un « mal-mort » (n'aurait pas dû mourir), les mals-morts auraient tendance à revenir dans le service

        • on sentirais leur présence (frissons dans le dos, ombres, bruits, lumière qui s'affole ...)

    • en absence de rites funéraires :

      • le mort peut encore revenir

      • on pratique le deuil de la chambre, même dans les hôpitaux (44 ou 48H à la chambre vide, on ne prend pas de nouveau patient dans une chambre vide)

 

2 / Le rapport au sacré

 

L’au-delà :

  • dans la chirurgie et le bloc chirurgical :

    • bloc chirurgical : vue comme un temple (voire comme le paradis)

  • les chirurgiens disent regretter le temps où les chirurgiens étaient considérés comme des demi-dieux, regretter le temps où ils étaient sur un pied d'estale

    • rêve un peu fou à un moment d'une immortalité potentielle (guérison organe par organe)le chirurgien n'est plus celui qui doit fournir l'immortalité

    • il perd son statut d'intouchable

    • il doit maintenant s'assurer

    • mais on entend parfois parler de miracle malgré tout (ex : fécondation in vitro

  • le monde médical à tendance à jouer avec la vie et la mort :

    • euthanasie passive, décision de mort sur les patients

    • le rapport à l'euthanasie est intéressant puisque les médecins ont été amenés à prendre un certains nombre de liberté avec la loi, un certains nombre de décisions d'euthanasie

    • euthanasie présentée comme un acte de soin

    • euthanasie considérée comme un meurtre en France actuellement

    • non lieu : un enfants euthanasié par un médecin après que sa mère ai tentée de le faire elle même et que le médecin l'ai réanimé

    • le médecin peut en toute impunité de faire mourir ces patients, on considère les médecins un peut au dessus de la loi des Homme

    • le côté secret n'est en revanche as bien admis, on demande un débat autour de l'euthanasie

    • euthanasie lors de la démence ? Comment décider ?

    • l'euthanasie faisait partie des actes de soin reconnus comme légitime

  • rapport au sacré car on autorise au médecins à passer au dessus de la loi

  • l'espace chirurgical est aussi un espace sacré :

    • champs opératoire

    • espace d'opération réservé au chirurgien

    • habits : couleurs codes

    • asepsie (éviter les infections nosocomiales)

      • le chirurgiens chef qui ne se donne même pas la peine de se laver les mains parce qu'il est trop doué pour

 

3 / Du malsain au sain

 

M.C. Pouchelle :

  • Arnold Van Gennep a mis en évidence des rites de passages (pour passer d'un état à un autre, par exemple le mariage) :

    • les rites de passages sont structurer en 3 étapes distinctes :

      • temps de séparation :

        • individu qui tombe malade → considéré comme malsain

        • il faut séparer → congés maladies, certains nombre de droits et de drogues

        • l'individu malsain doit se faire soigner pour redevenir sain et redevenir productif

        • une femme avec un cancer du sain fera ainsi appel à la chirurgie → entrée à l'hôpital

        • hôpital : individus dangereux, malades, contagieux, ...

        • chirurgie

        • chirurgie : temps laminaire

      • temps liminaire :

        • on est plus malsain mais on est pas encore sain → plus d'identité

      • temps d'agrégation :

        • une fois le mal retiré on réintègre le milieu des personnes saines, utiles

        • rupture avec la vie de malade :

          • on fait partir le patient pendant l'anesthésie et on le fais revenir

          • en cas d'échec → les paramédicaux pourrait rencontrer son fantôme dans le service puisque pas soigné

 

Idée de gens qui ne devrait pas mourir :

  • sentiments de vulnérabilité de l'entourage en soins palliatifs

  • vague peur de contagion, des douleurs qui apparaissent

  • arrêt de la douleur au moment où l'on s'avoue que l'on est vulnérable face à un monde violent

  • John Wayne syndrome pour les médecin homme : il se montre comme des gros durs

  • alors que les filles doivent se montrer plus touchée, on leur empêche le blindage

 

III / Qu'est ce qu'être mort

 

La mort, c'est la fin de la vie.

 

À chaque fois, la mort va se décrire par rapport à la vie et en opposition à la vie. Ce qui demande une définition de la vie, ce qui pose un autre problème. On est pas considéré comme mort en fonction des différentes époques.

 

Notre définition vient de la culture judéo-chrétienne. La mort est quelque chose d'instantanée (on passe de vivant à mort) et d'irréversible. Jusqu'au 18e siècle, on considère capital qu'un individu meurt pour que son âme quitte son corps. Morts pour la vie terrestre, partis pour le vie céleste. Le 18e siècle, c'est le siècle des lumières, une série de personnes remet en cause cela, l’arrêt du cœur apparaît alors comme la mort : si il y a arrêt de la circulation sanguine, le flux vital ne circule plus, on est mort → critère cardiaque. La mort était toujours défini par rapport à l’arrêt du cœur. Mais la mort est toujours instantanée et irréversible.

 

En 1950, transition épidémiologique, apport d'antibiotique par les Alliés lorsqu'ils débarquent sur la plage. Du jour au lendemain, arrêt des mort aigu. Ce qui tuait un jour, ne tue plus si on a le bon antibiotique. Début de la médecine biotechnologique. Avec des médecins très fiers de ce qu'ils font. Début de l'intérêt pour les pathologies chroniques. Recherche, amélioration des techniques médicales colossales.

 

Nouvelle définition de la mort avec l'invention de la réanimation et à l'invention de la médecine transplantatoire.

 

La réanimation :

  • médecine de pointe dans les années 50

  • la mort n'est plus considérée comme la fin de la vie à l’arrêt du cœur

  • la mort n'est plus irréversible

  • excès de zèle : les réanimateurs réanimait tout le monde, problème de cerveaux complétement morts car privés trop longtemps d'O2

  • ces individus étaient définis comme vivants

  • question éthique : est ce qu'on a pas failli au principe de non malveillance en voulant être bienveillant ?

  • les probabilités de sortir comas dépassés (plus de 2 ou 3 mois) sont infimes, on a des morts à cœur battants

 

Transplantation cardiaque :

  • idée d'immortalité

  • avancée par succès et par échecs

  • problème de la dégradation rapide des organes et du rejet

  • Dr Barnart : a réussi la première transplantation réussi (patient mort après 18 jours à cause des immunosuppresseurs en excès comme le cœur avaient commencé à se détériorés)

  • le siège de la vie se déplace

  • on ne meurt plus à l'arrêt du cœur

  • mais à partir de l'encéphalogramme plat (à partir de 1968)

  • la mort devient une construction sociale

  • il s'agit alors d'un événement dépendant d'une culture et d'un temps particulier

  • on va alors définir ce qu'est la vie

 

Problème de place des personnes du 4e age en gériatrie :

  • extinction de masse ?

  • solidarité nationale ?

  • est ce que ces personnes sont vivantes ou pas ?

 

Qu'est ce qu'un bon mort et un mauvais mort ?

  • sur le bon mort on est à peu près tous d'accord

  • grâce aux avancées technologiques … les français ont tendance à penser qu'une bonne mort est celle qui respecte la succession des générations (on ne meurt pas avant ces parents)

    • mauvais mort = mort prématurée = avant l'heure

    • mais à quelle heure ?

    • ni trop tôt, ni trop tard

    • si il ne meurt pas à son heure, la mort est scandaleuse

    • on peut être orphelin ou veuf, mais il n'y a aucun terme pour un parent ayant perdu son enfant → mise à distance de ce type de réalité

    • on évite de nommée cette situation qui n'est pas acceptée

    • enterrement : juste les parents, les très proches, même les grands parents ne viennent pas

    • enterrement des SDF également : quand il n'y a personne, à 7H avec des cercueil dégradables, et remplaçable au bout de 5 ans

    • la médecine accepte de prévenir (comment bien vieillir, …)

  • mais la médecine passe son temps à reculer l'advenue de la mort, et une autre mauvaise figure de la mort apparaît : la mort retardée à outrance

    • acharnement thérapeutique

    • obstination déraisonnable

    • on le voit en soins palliatifs :

      • admission de patients dans des état de plus en plus délabrés et qui tiendrons de plus en plus vieux une fois admis (19 jours, puis 29, …)

  • le médecin DOIT guérir, la mort est alors perçut comme un échec de la médecine :

    • on essaie de prolonger la quantité de vie

    • mais de plus en plus de patients raisonnent en qualité de vie

    • on voit apparaître les premières associations de patients et comités éthiques

  • après les années 90, apparition de l'abandon de l'acharnement thérapeutique

    • une infirmière attire le chef de service dans la chambre d'un patient, pendant qu'une autre infirmière bloque le passage aux autres médecin → seul façon d'avoir une visite pour le patient victime d'EVC

    • les médecin préférais passer leur temps avec les patients moins « atteints »

    • médecine paternaliste

      • pratique d'euthanasie sur des patient sans leur poser de question avant ! Pour des vies qu'ils jugeaient ne plus avoir de sens

  • pour l'instant le patient est au centre, on a une médecine autonomique :

    • le médecin doit faire une place à l'autonomie du patient :

      • il doit être informé

      • on doit obtenir son consentement éclairé

    • pratiques euthanasiques proscrites :

      • mais très régulièrement tolérées

 

Le mauvais mort :

  • meurt trop tôt, ou trop tard

 

Les bons morts :

  • l’hôpital ne sait pas fabriqué de bons morts :

    • si le patient est mort trop tôt ou trop jeune → échec de la médecine

    • si le patient meurt trop tard → médecine obstinée

    • médecin de toutes façon coincés avec l'idée du mauvais mort

  • évaluation à postériori de la bonne ou mauvaise mort :

    • si le traitement fonctionne → vie → réussite → normal car c'est le travail du médecin

    • si mort → acharnement !

  • le bon mort dans notre culture actuelle est celui qui ne sait pas qu'il va mourir, (idéalement dans le sommeil)

  • hôpital → jamais de bon mort car attente et prévision de la mort

  • l'hôpital nous fais entrer dans un temps d'attente de cette mort et va fournir au individu une identité toute nouvelle et problématique : l'identité de mourrant

    • identité sociale

 

III / Savoir médical et régulation sociale

 

La médecine dispose de toute la notoriété pour vérifier l'arrivée de la mort (avec les appareil pour vérifier).

 

La médecine passe son temps à faire reculer la mort. Avec ces progrès, la société va retirer l'idée que la mort est un état d’exception.

 

La mort serait une exception :

  • c'est un événement qui aurait pu être évité si …

  • idée que la mort est un accident

  • apparition d'une catégorie particulière d'individus en vie : les mourants

  • idée que seuls les mourants meurent → être vivant va être considéré comme étant LE statut normal des êtres

  • le mourant récupère un statut d'exception

    • on lui réserve une catégorie particulière de l'humanité

    • on accepte des truc particulier : dernière cigarette par exemple → fumer dans une chambre d'hôpital, ou prise de 50 anxiolitiques ...

    • mais obligation aux mourants de parler ça mort à venir :

      • dire si ça fait mal ...

    • alors que la mort est imprévisible, ça va à l'opposé de la définition du bon mort !

 

On a inventé des rites de passages :

  • le mourant est entre deux

  • idée de seuils dans les rites de passages

 

Soucis du terme de mourant :

  • on est un mort en devenir et du cou on ne partage plus la même humanité que les mourants et vivants

  • certains individus une fois estampillés mourants sont déjà considérés comme morts, on essaie de s'en détacher, ils sont considérés comme morts avant la mort physiologiques

  • ex du cancer du sein : le mari qui se trouve une nouvelle femme avant la mort de sa femme malade !

  • c'est là que l'on a des demande d'euthanasie ou de suicide assisté

 

Certains services vont pratiquer des euthanasies :

  • réanimation néo-natale :

    • Anne Paillet : les euthanasies existes

    • aujourd'hui on est capable de faire survivre des prématurés de 6 mois, mais ont a des soucis de développement relatifs donc on se donne du temps pour voire si l'enfant a des chances de survies ou si l'handicap sera tellement important que la vie ne sera pas possible

    • décisions dures à prendre

    • mais il est dit en réanimation que si l'handicap est trop lourd on doit mettre fin à sa vie

    • ex : si le cerveau ne fonctionne pas → fin de la réanimation

  • l'éthique est du côté de la non obstination déraisonnable, mais le patient doit décéder de manière naturelle !

    • Réanimation qui refuse de laisser un enfant mourir de mort naturelle (ex-tubation car poumon non développés → l'enfant s'étouffe → on pratique plutôt une grosse dose de morphine qui entraine un arrêt cardiaque)

    • geste médical = geste responsable ?

      • mise en place d'une responsabilité médical avec le choix de l'euthanasie

 

3 / 2 / Le gouvernement des corps

 

Aujourd'hui :

  • la société va faire passer un certain nombre de message → il faut bien vieillir

  • prévention

  • on meurt de plus en plus vieux et malade

  • la médecine s'intéresse de plus en plus aux maladies chroniques et dégénératives pour prévenir ce fameux vieillissement et permettre aux individus de bien vieillir

  • individus qui triche pour vieillir n'est plus d'actualité alors qu'avant ils étaient envier pour leur sagesse …

  • peur de vieillesse car maintenant la vieillesse est perçut comme l'antichambre de la mort, le temps d'attente de la mort

  • Billet : « toutes ces injonctions, va nous amener à vieillir sans vivre »

    • peur de la mort vienne aussi de la souffrance pré-mortelle dont on a peur

    • cette période pré-mortelle a tendance à se confondre avec la vieillesse

 

Vieillissement en 6 points :

  • prendre soin de son corps

  • soigner les apparence

  • lire les philosophes

    • apprendre qu'on est mortel

  • bien traverser la ménopause

  • commencer une thérapie

  • s'inspirer de ces ainés

 

Bien vieillir n'est que de la responsabilité de l'individu.

 

Respecter cette passerelle est de la responsabilité des individus (bien mangé, aller voire un médecin, faire du sport, …). Notre corps est devenue un capital qu'il faut entretenir. Plus on est vieux, plus on se soucis, puisque considéré comme une personne à risque.

 

On rend les gens responsable de notre état → existence sous surveillance.

 

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