Rayonnements électromagnétiques non-ionisants
Rayonnements électromagnétiques non-ionisants
20-01-12
La plupart de ces rayonnements sont caractérisés par : leur longueur d'onde (λ), par leur fréquence f à travers la relation : f * λ = c (c célérité de la lumière).
Les rayonnements de :
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λ > 100 nm : non ionisantes car pas assez énergétiques
-
λ < 100 : pour la plupart capables d'ioniser la matière (ex : de l'eau)
Il faut 13,6 eV pour ioniser l’électron le plus périphérique de l'atome d’hydrogène de la molécule d'eau H2O (E = h * nu = (hc)/λ).
λ environne 91 nm
Les rayonnements non-ionisants :
-
inclus un très large spectre de radiations (classés en longueur d'onde croissante) :
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champs électriques et magnétiques statiques
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champs à fréquence extrêmement basse (EBF)
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radiofréquences (microondes, domaine RMN)
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rayonnement infrarouge
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lumière visible
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UV
-
Les champs sont d'origines très variées :
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un objet soumis à une tension électrique dégage un champs électrique
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les champs électriques ou magnétiques peuvent se former à proximité des objets soumis à des tensions électriques ou traversés par des courants électriques
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dans le domaine de la télécommunication, les ondes sont émises par des antennes servant de support d'information
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nous sommes également entourés d'ondes électromagnétiques d'origine naturelle, tel le champ magnétique terrestre
Quelques définitions :
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le rayonnement (ou champs) électromagnétique est défini comme « l'association d'un champ électrique sinusoïdal dénommé (E) et d'un champ magnétique dénommé (H) de même période (ils sont synchronisés, simultanés avec T = 1/f), qui lui est en tout point perpendiculaire
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le champ électrique (E →) :
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vecteur créé par la présence de particules chargées
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ce vecteur permet de déterminer la force exercée par ces charges en tout point
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intensité du champ électrique :
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valeur ou module du champ électrique exprimée en Volt/mètre
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champ magnétique (H →) :
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vecteur dû à la présence d'un courant électrique entrainant de part le mouvement de particules chargées des forces magnétiques à la fois d'attraction ou de répulsion
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intensité du champ magnétique :
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c'est la valeur du module du champ magnétique (H) exprimée en ampères/mètre
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densité de flux ou induction magnétique (B →)
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cette densité de flux est une grandeur vectorielle équivalente au champ magnétique (H) dans l'air et dans les milieux biologiques
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elle s'exprime en Tesla (T)
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NB :
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1 A/m environne 4 pi * 10^-7 Tesla
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le gauss 1 µT soit environ 10 mG
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Champ proche et champ lointain :
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champ proche (zone de Fresnel) :
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près de la structure rayonnante (à moins de λ/(2π) → d < λ/(2π))
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l'onde électromagnétique n'est pas totalement formée
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cette onde ne possède pas les caractéristiques d'une onde plane
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les champs électriques et magnétiques varient fortement d'un point à l'autre
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E et H ne sont pas corrélés et doivent être considérés et mesurés indépendamment
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champ lointain (zone de Fraunhofer) :
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zone éloignée de la structure rayonnante d'au moins 1,6 λ → 10 λ / (2 π)
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dans cette zone lointaine l'onde est parfaitement caractérisée
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les relations entre E et H sont clairement définies
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il suffi de la simple connaissance d'une de ces 2 grandeurs pour déterminer l'autre : E/H = 377 Ω (impédance des champs électromagnétiques = constante)
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l'intensité de l'onde décroit selon 1/r²
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il existe une zone de transition, entre les 2 zones de propagation :
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d > λ/2 π mais < 10λ/2π
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Important :
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problèmes de mesure à faible distance des sources d'émission
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cas des téléphones mobiles :
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système GSM
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900 à 1800 MHz
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λ environne 15 à 30 cm
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la proximité de la tête est telle que l'on atteint pas les conditions de champs lointains
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calculs difficiles et il faut tenir compte de l’impédance présentée par la tête : pour caractériser les champs (origine de controverse)
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Absorption spécifique :
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énergie absorbée par unité de masse de tissu biologique (Joules/Kg) à ne pas confondre avec le Gray (J/Kg) qui exprime la dose reçu de rayonnement ionisants
Débit d'absorption spécifique :
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= DAS
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c'est la puissance radiofréquence absorbée par unité de masse de tissu biologique en W/Kg exposé à un champs électrique et caractérisé par sa conductivité électrique (sigma) et sa masse volumique (ρ)
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D.A.S = (ρ * E²)/ρ
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S.A.R = specific absorption rate
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NB : cet indice figure sur chaque portable (ou mobile) et doit être inférieur à 2 W/Kg au niveau du tronc et de la tête
Comparaison directe entre E → et B → (ou H →) :
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la force de Lorentz :
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elle est due au champ électromagnétique qui s'exerce sur les particules chargées, c'est un produit vectoriel
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F → = q * (E →) * q * (v →) * (B →)
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champ électrique :
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créé par une mise sous tension d'un conducteur
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peut exister même lorsque l'appareil électrique est éteint (mais branché)
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la plupart des matériaux de construction protègent un peu
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champ magnétique :
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créé par le passage d'un courant électrique dans ce conducteur
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apparaît dés que l'appareil s'allume et que le courant passe
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la plupart des matériaux sont incapables de réduire l'intensité du champ magnétique
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Tableau classant les champs électromagnétiques selon leur fréquence/longueur d'onde et leur domaine d'utilisation |
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Désignation |
Gamme de fréquence |
Longueur d'onde |
Emploi |
Champ statique |
0 |
infini |
Champ magnétique terrestre |
EBF (extrêmement basse fréquence) |
< 300 Hz |
> 1000 km |
Réseau électrique (50 Hz en Europe, 60 au États-Unis |
TBF (Très Basses Fréquences) |
0,3 à 30 kHz |
1000 à 10 km |
Radiocommunication |
Basses Fréquences |
30 à 300 kHz |
10 à 1 km |
Radiodiffusion (GO) |
Moyennes fréquences |
0,3 à 3 MHz |
1 km à 100 m |
Radiodiffusion (MO et PO (moyenne onde et petites ondes) Médecine |
Hautes fréquences et Très Hautes Fréquences |
3 à 300 MHz |
100 à 1 m |
TV / Radio FM RMN / IRM |
Ultra Hautes réquences |
0,3 à 300 GHz |
1m à 1 cm ou mm |
Téléphone mobiles Radio Microondes |
Infra rouge |
0,3 à 385 THz |
1 mm à 780 nm |
télécommandes |
Visible |
385 à 750 THz |
780 à 400 nm |
Vision |
Ultra violet |
750 à 3000 THz |
400 à 100 nm |
Photothérapie Lampes germicides |
X - UV |
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100 à 10 nm |
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Effets induits par des rayonnement non ionisants : à la place d'une ionisation nous observons :
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une excitation avec changement de niveau d'énergie des électrons
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UV et Visibles
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une vibration moléculaire :
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infrarouge proche
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utilisation de la spectroscopie infrarouge
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une rotation et une torsion moléculaire :
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infrarouge lointain et un peu dans le domaine radiofréquence
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Le rayonnement ultraviolet :
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ces rayonnements sont subdivisés en trois bandes spectrales en fonction de leurs propriétés d'absorption et des mécanisme d'interaction biologique
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les UVA :
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320 à 400 nm
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les UVB
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280 à 320 nm
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les UVC :
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100 à 280 nm
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Le rayonnement naturel du soleil :
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il se décompose essentiellement en 3 rayonnements :
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IR : 55 %
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Visible : 40 %
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UV : 5 %
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UVA :
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les moins filtrés par la couches d'ozone → 95 % des UV qui arrivent au sol
-
-
UVB :
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environ 5 %
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filtrés par l'atmosphère et les nuages
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UVC :
-
>> 0,1 %
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filtrés par la couche d'ozone
-
-
-
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la quantité et la qualité du rayonnement naturel varie selon :
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l'altitude :
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la composition en UVB augment de 20% à 1500 m
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la position relative au soleil :
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la latitude
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la saison
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l'humidité :
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diffraction par les molécules, gouttes d'eau)
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pollution atmosphérique = poussière
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heure de la journée
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type de sol
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sous nos latitudes :
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l'intensité du rayonnement est plus importante quand le soleil est au zénith
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→ heures solaires – 12H à 16H en été
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les UVA sont présents du lever au coucher du soleil
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les UVB sont présents aux heures solaires, car filtrés par l'atmosphère quand leur trajet est rasant
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-
type de sol :
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on mesure la réflexion depuis le sol par une fraction, l'albédo (albus = blanc en latin)
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c'est le rapport de l'énergie solaire réfléchie par une surface à l'énergie solaire incidente
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Surface |
Albédo |
Surface d'un lac |
0,02 – 0,04 |
Mer |
0,02 – 0,015 |
Sable sec |
0,25 – 0,45 |
Glace |
0,30 – 0,40 |
Neige tassée |
0,40 – 0,70 |
Neige fraiche |
0,75 – 0,90 |
Différences entre UVA et UVB :
-
UVA
-
→ pénètrent dans les couches profondes de la peau (jusqu'au derme pour certaines personnes
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→ sont peu absorbés par l'ADN
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→ responsables de l'effet de bronzage immédiat et peu durable (léger mais peu durable)
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effet chromophore des UVA
-
→ capacité de certains groupements chimiques d'absorbés à des longueurs d'ondes précises (ex : 320 à 400 nm)
-
favorise la production de radicaux libres → cellules
-
favorise le vieillissement de la peau (rides)
-
études récentes montrent que cet effet favorise également le cancer cutané
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-
-
UVB :
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pénètrent moins dans la peau (jusqu'à 1/3 du derme)
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sont absorbés par l'ADN = effet chromophore pour l'ADN (max : 255 – 270 nm)
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toujours efficace aux UVB environnant 280 nm
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responsables du bronzage et des brulures à retardement
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favorisent la production de radicaux libres oxygénés par la peau (effet chromophore sur d'autres molécules que l'ADN) → coups de soleil + inflammation à court terme
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favorisent le vieillissement de la peau avec atteinte des fibres de collagène → cancer
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Manifestations cutanées immédiates et retardées :
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effets immédiats :
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synthèse de la vitamine D3 (UVB surtout)
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action calorifique des infrarouges (vasodilatation dermique = rougeur de peau)
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pigmentation immédiate (phénomène de Meirowski) → assombrissement de l'épiderme surtout → mais qui disparaît en quelques heures seulement (UVA) → peau mate
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effets retardés :
-
coups de soleil (= érythème actinique) – traduit une réaction inflammatoire provoquée essentiellement par les UVB
-
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effets à long terme :
-
cancers cutanés (mélanomes et carcinomes)
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vieillissement actinique ou hélioderme (détérioration des fibres)
-
immunosuppression = diminution des défenses immunitaires cutanées
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Action anti-rachitique par synthèse de la vitamine D3 :
-
besoin de la vitamine D3 = facilite l'absorption du calcium et du phosphore
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deux sources :
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alimentaire
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synthèse
-
-
la synthèse de provitamine D est catalysée par les UVB → vitamine D3 (cholescalciférol) par les cellules de l'épiderme
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en pratique, une exposition du visage de quelques minutes
Le bronzage :
-
suite à une exposition raisonnable :
-
les UVA vont agir sur quelques précurseurs de la mélanine et provoquer une pigmentation cutanée immédiate
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les kératinocytes envoient un message aux mélanocytes et permettent la production de cytokines
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dans les jours qui suivent :
-
l'action des UVB (environ 297 nm) stimule les mélanocytes qui produisent la mélanine (pigmentation à retardement)
-
la mélanine va colorer les cellules voisines de l'épiderme
-
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deux types de mélanine produite :
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la phéomélanine (« mélanine des écossais ») qui est rouge et qui protège peu
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l'eumélanine qui est noire et absorbe efficacement les UV
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avec l'âge le nombre de mélanocytes diminue et on bronze moins
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au fil des expositions solaires :
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la peau devient moins élastique
-
les cellules se renouvellent moins souvent
-
les pigments colorés s'agglomèrent et forment des tâches cutanée (= « tâche séniles »)
-
-
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les UVB vont provoquer un accroissement de la prolifération des kératinocytes qui mène à une augmentation de l'épaisseur de la peau (surtout des couches externe) et ainsi provoquer une diminution de la pénétration des UVB
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pas le cas des UVA (cabine solaire)
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Types de peau (phénotypes 0 → VI) :
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phénotype 0 :
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albinos
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phénotypes I et II :
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peau claire
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blond
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roux
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I : bronzage quasiment impossible (on devient tout de suite tout rouge) → risque élevé de coups de soleil, de vieillissement cutané et de cancer
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phénotypes V ou VI :
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peau mate
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l'eumélanine est produite en grande quantité
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rarement de coups de soleil
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les cancers cutanés sont beaucoup plus rares
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Notion de capital soleil :
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le capital soleil permet à chacun de lutter contre une quantité déterminée d'UV tout au long de sa vie
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lorsque ce capital est épuisé :
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la peau ne peut plus se protéger efficacement
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nos cellules qui sont endommagées ne se réparent plus
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Vieillissement cutané (héliodermie) :
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premier effet chronique d'une exposition prolongée au soleil
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se manifeste 10 à 20 ans plus tard →
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rides profondes,
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troubles de la pigmentation de la peau,
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épaississement de l'épiderme,
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atrophie de la peau avec une perte de souplesse de la peau,
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perte d'élasticité
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le vieillissement cutané est proportionnel à la dose d'UV reçu pendant la vie
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les dégâts sont irréversibles
NB : 75 % de l'exposition totale à lieu pendant les premières 18 années de vie
Danger des UVA et UVB pour l'ADN :
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UVA :
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l'ADN n'absorbe que très peu les photons UVA
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effet chromophore qui excite certaines molécules
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induction d'espèces réactives de l'oxygène : RL
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(A – B) → (A – B)° → A° + B° radicaux libre avec un électron non apparié
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radicaux libres :
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peuvent endommager les composants cellulaires (liquides, protéines) et même extracellulaire comme la matrice dermique
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action génotoxique qui implique des processus oxydatifs → photochimie
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UVA → transition électronique → énergie libérée transférée à un autre atome (à une autre molécule)
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production typique :
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→ radical hydroxyle (HO°)
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→ oxygène singulet (^O2°) qui est très réactif
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lésions majoritaires (ADN) → purines oxydées (principalement par l'oxygène singulet)
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d'autres lésions secondaires :
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dommages aux pyrimidines et les cassures de chaines (HO°)
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formation de dimères cyclobutane (→ dimères de thymine)
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-
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UVB :
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plus dommageable par le génome
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directement absorbés par l'ADN
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induction de réactions photochimiques → ADN
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principales cibles :
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bases pyrimidiques
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thymine et cytosine
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dans certains cas on a cassures des liaisons hydrogènes
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si elles sont en position adjacente dans la double hélice il peut y avoir une réaction 2 à 2 en créant de nouvelles liaisons covalentes
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→ création de dimères cyclobutanes
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dimères de thymine
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dimère de cytosine
-
-
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la structure chimique des bases est fortement modifiée :
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le fonctionnement de la cellule est perturbé
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mort cellulaire ou mutation = processus impliqué dans l'apparition des tumeurs
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Cancers cutanés :
-
carcinomes :
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concernent 90 % des cancers cutanés
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rarement mortels
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la plupart ne se propagent pas vers d'autres organes, ce sont les carcinomes baso-cellulaires
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mais certains se propagent un peu plus, ce sont les carcinomes spino-cellulaires
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ils sont formés suite à une transformation des kératinocytes
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le risque d'en développer est d'autant plus élevé quand on a :
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la peau claire
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été un peu trop exposé au soleil pendant l'enfance
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été trop exposé de façon chronique, longtemps et souvent
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guérison :
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intervention chirurgicale superficielle (mais tôt !)
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mélanomes :
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10%, plus rare
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mais beaucoup plus dangereux
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il s'agit de tumeurs malignes à partir de cellules mélanocytes de l'épiderme
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ils se propagent très vite (quelques semaines, ou quelques mois) à d'autres organes (on parle de métastases par atteinte ganglionnaire)
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les UVA et les UVB sont impliqués
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les études montrent que :
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ce sont les expositions intermittentes et violentes (coups de soleil) et particulièrement pendant l'enfance qui sont en cause
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les peaux claires sont plus visées ...
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la fréquence des mélanomes semble augmenter avec l'age (épuisement du capital soleil)
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Effets sur l’œil :
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les UV peuvent atteindre différentes structures de l’œil
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UV < 260 nm sont arrêtés par la cornée (UVC)
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UV < 400 nm sont pratiquement tous arrêtés par le cristallin
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UVA :
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jusqu'au cristallin voire plus loin chez l'enfant
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les UVA sont les plus dangereux pour les yeux et peuvent être à l'origine d'une opacification du cristallin (ça s'appelle la cataracte)
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UVB :
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absorbés partiellement par la cornée
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absorbés totalement par les structures qui constituent la chambre antérieur de l’œil
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endommage plutôt les cellules de la cornée
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les pathologies :
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la photokératite :
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l'exposition de la cornée aux UV qui déclenche une inflammation (= kératite) et une cécité passagère, réversible en quelque jours
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atteinte de la rétine :
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peu de risque d'altération aiguë de la rétine sauf en cas d'observation d'une source lumineuse très intense, ce qui peut entrainer une cécité irréversible
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danger des UV artificiels (séances de bronzage, arc à souder) :
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les paupières laissent passer une partie des UV en cas d'exposition intense
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obligation de porter des lunettes
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Sources artificielles :
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trois sources d'UV artificielles :
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sources d'UV artificielle professionnelle
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sources d'UV artificielle pour le confort de vie
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sources d'UV artificielle dans le milieu médical
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généralement ce sont des lampes émettant des spéctres particuliers d'UV :
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lampes à radiation produite par incandescence
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lampes à radiation produites par décharges électriques dans un gaz (basse ou haute pression)
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cas des lampes à décharge basse pression :
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(éclairage bureaux, cabine de bronzage)
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tubes fluorescents :
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les UV produits, puis convertis en lumière visible (enduit fluorescent sur l'intérieur du tube qui absorbe les UV pour les transformer en lumière visilble)
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selon les types de gz et de réactif fluorescent on va obtenir différents résultats :
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UVB à spectre étroit (311 à 313 nm)
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UVB à spectre large
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UVA pur
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dans le cas des cabines de bronzage, l'enduit fluorescent émet seulement les UVA