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2 février 2012

Rayonnements électromagnétiques non-ionisants

 

 

Rayonnements électromagnétiques non-ionisants

20-01-12

 

La plupart de ces rayonnements sont caractérisés par : leur longueur d'onde (λ), par leur fréquence f à travers la relation : f * λ = c (c célérité de la lumière).

 

Les rayonnements de :

  • λ > 100 nm : non ionisantes car pas assez énergétiques

  • λ < 100 : pour la plupart capables d'ioniser la matière (ex : de l'eau)

 

Il faut 13,6 eV pour ioniser l’électron le plus périphérique de l'atome d’hydrogène de la molécule d'eau H2O (E = h * nu = (hc)/λ).

 

λ environne 91 nm

 

Les rayonnements non-ionisants :

  • inclus un très large spectre de radiations (classés en longueur d'onde croissante) :

    • champs électriques et magnétiques statiques

    • champs à fréquence extrêmement basse (EBF)

    • radiofréquences (microondes, domaine RMN)

    • rayonnement infrarouge

    • lumière visible

    • UV

 

Les champs sont d'origines très variées :

  • un objet soumis à une tension électrique dégage un champs électrique

  • les champs électriques ou magnétiques peuvent se former à proximité des objets soumis à des tensions électriques ou traversés par des courants électriques

  • dans le domaine de la télécommunication, les ondes sont émises par des antennes servant de support d'information

  • nous sommes également entourés d'ondes électromagnétiques d'origine naturelle, tel le champ magnétique terrestre

 

Quelques définitions :

  • le rayonnement (ou champs) électromagnétique est défini comme « l'association d'un champ électrique sinusoïdal dénommé (E) et d'un champ magnétique dénommé (H) de même période (ils sont synchronisés, simultanés avec T = 1/f), qui lui est en tout point perpendiculaire

  • le champ électrique (E →) :

    • vecteur créé par la présence de particules chargées

    • ce vecteur permet de déterminer la force exercée par ces charges en tout point

  • intensité du champ électrique :

    • valeur ou module du champ électrique exprimée en Volt/mètre

  • champ magnétique (H →) :

    • vecteur dû à la présence d'un courant électrique entrainant de part le mouvement de particules chargées des forces magnétiques à la fois d'attraction ou de répulsion

  • intensité du champ magnétique :

    • c'est la valeur du module du champ magnétique (H) exprimée en ampères/mètre

  • densité de flux ou induction magnétique (B →)

    • cette densité de flux est une grandeur vectorielle équivalente au champ magnétique (H) dans l'air et dans les milieux biologiques

    • elle s'exprime en Tesla (T)

  • NB :

    • 1 A/m environne 4 pi * 10^-7 Tesla

    • le gauss 1 µT soit environ 10 mG

 

Champ proche et champ lointain :

  • champ proche (zone de Fresnel) :

    • près de la structure rayonnante (à moins de λ/(2π) → d < λ/(2π))

    • l'onde électromagnétique n'est pas totalement formée

    • cette onde ne possède pas les caractéristiques d'une onde plane

    • les champs électriques et magnétiques varient fortement d'un point à l'autre

    • E et H ne sont pas corrélés et doivent être considérés et mesurés indépendamment

  • champ lointain (zone de Fraunhofer) :

    • zone éloignée de la structure rayonnante d'au moins 1,6 λ → 10 λ / (2 π)

    • dans cette zone lointaine l'onde est parfaitement caractérisée

    • les relations entre E et H sont clairement définies

    • il suffi de la simple connaissance d'une de ces 2 grandeurs pour déterminer l'autre : E/H = 377 Ω (impédance des champs électromagnétiques = constante)

    • l'intensité de l'onde décroit selon 1/r²

  • il existe une zone de transition, entre les 2 zones de propagation :

    • d > λ/2 π mais < 10λ/2π

 

Important :

  • problèmes de mesure à faible distance des sources d'émission

    • cas des téléphones mobiles :

      • système GSM

      • 900 à 1800 MHz

      • λ environne 15 à 30 cm

      • la proximité de la tête est telle que l'on atteint pas les conditions de champs lointains

    • calculs difficiles et il faut tenir compte de l’impédance présentée par la tête : pour caractériser les champs (origine de controverse)

 

Absorption spécifique :

  • énergie absorbée par unité de masse de tissu biologique (Joules/Kg) à ne pas confondre avec le Gray (J/Kg) qui exprime la dose reçu de rayonnement ionisants

 

Débit d'absorption spécifique :

  • = DAS

  • c'est la puissance radiofréquence absorbée par unité de masse de tissu biologique en W/Kg exposé à un champs électrique et caractérisé par sa conductivité électrique (sigma) et sa masse volumique (ρ)

  • D.A.S = (ρ * E²)/ρ

  • S.A.R = specific absorption rate

  • NB : cet indice figure sur chaque portable (ou mobile) et doit être inférieur à 2 W/Kg au niveau du tronc et de la tête

 

Comparaison directe entre E → et B → (ou H →) :

  • la force de Lorentz :

    • elle est due au champ électromagnétique qui s'exerce sur les particules chargées, c'est un produit vectoriel

    • F → = q * (E →) * q * (v →) * (B →)

  • champ électrique :

    • créé par une mise sous tension d'un conducteur

    • peut exister même lorsque l'appareil électrique est éteint (mais branché)

    • la plupart des matériaux de construction protègent un peu

  • champ magnétique :

    • créé par le passage d'un courant électrique dans ce conducteur

    • apparaît dés que l'appareil s'allume et que le courant passe

    • la plupart des matériaux sont incapables de réduire l'intensité du champ magnétique

 

Tableau classant les champs électromagnétiques selon leur fréquence/longueur d'onde et leur domaine d'utilisation

Désignation

Gamme de fréquence

Longueur d'onde

Emploi

Champ statique

0

infini

Champ magnétique terrestre

EBF (extrêmement basse fréquence)

< 300 Hz

> 1000 km

Réseau électrique (50 Hz en Europe, 60 au États-Unis

TBF (Très Basses Fréquences)

0,3 à 30 kHz

1000 à 10 km

Radiocommunication

Basses Fréquences

30 à 300 kHz

10 à 1 km

Radiodiffusion (GO)

Moyennes fréquences

0,3 à 3 MHz

1 km à 100 m

Radiodiffusion (MO et PO (moyenne onde et petites ondes)

Médecine

Hautes fréquences

et Très Hautes Fréquences

3 à 300 MHz

100 à 1 m

TV / Radio FM

RMN / IRM

Ultra Hautes réquences

0,3 à 300 GHz

1m à 1 cm ou mm

Téléphone mobiles

Radio

Microondes

Infra rouge

0,3 à 385 THz

1 mm à 780 nm

télécommandes

Visible

385 à 750 THz

780 à 400 nm

Vision

Ultra violet

750 à 3000 THz

400 à 100 nm

Photothérapie

Lampes germicides

X - UV

 

100 à 10 nm

 

 

Effets induits par des rayonnement non ionisants : à la place d'une ionisation nous observons :

  • une excitation avec changement de niveau d'énergie des électrons

    • UV et Visibles

  • une vibration moléculaire :

    • infrarouge proche

    • utilisation de la spectroscopie infrarouge

  • une rotation et une torsion moléculaire :

    • infrarouge lointain et un peu dans le domaine radiofréquence

 

Le rayonnement ultraviolet :

  • ces rayonnements sont subdivisés en trois bandes spectrales en fonction de leurs propriétés d'absorption et des mécanisme d'interaction biologique

  • les UVA :

    • 320 à 400 nm

  • les UVB

    • 280 à 320 nm

  • les UVC :

    • 100 à 280 nm

 

Le rayonnement naturel du soleil :

  • il se décompose essentiellement en 3 rayonnements :

    • IR : 55 %

    • Visible : 40 %

    • UV : 5 %

      • UVA :

        • les moins filtrés par la couches d'ozone → 95 % des UV qui arrivent au sol

      • UVB :

        • environ 5 %

        • filtrés par l'atmosphère et les nuages

      • UVC :

        • >> 0,1 %

        • filtrés par la couche d'ozone

  • la quantité et la qualité du rayonnement naturel varie selon :

    • l'altitude :

      • la composition en UVB augment de 20% à 1500 m

    • la position relative au soleil :

      • la latitude

      • la saison

    • l'humidité :

      • diffraction par les molécules, gouttes d'eau)

    • pollution atmosphérique = poussière

    • heure de la journée

    • type de sol

  • sous nos latitudes :

    • l'intensité du rayonnement est plus importante quand le soleil est au zénith

      • heures solaires – 12H à 16H en été

    • les UVA sont présents du lever au coucher du soleil

    • les UVB sont présents aux heures solaires, car filtrés par l'atmosphère quand leur trajet est rasant

  • type de sol :

    • on mesure la réflexion depuis le sol par une fraction, l'albédo (albus = blanc en latin)

    • c'est le rapport de l'énergie solaire réfléchie par une surface à l'énergie solaire incidente

 

Surface

Albédo

Surface d'un lac

0,02 – 0,04

Mer

0,02 – 0,015

Sable sec

0,25 – 0,45

Glace

0,30 – 0,40

Neige tassée

0,40 – 0,70

Neige fraiche

0,75 – 0,90

 

Différences entre UVA et UVB :

  • UVA

    • pénètrent dans les couches profondes de la peau (jusqu'au derme pour certaines personnes

    • sont peu absorbés par l'ADN

    • responsables de l'effet de bronzage immédiat et peu durable (léger mais peu durable)

    • effet chromophore des UVA

      • capacité de certains groupements chimiques d'absorbés à des longueurs d'ondes précises (ex : 320 à 400 nm)

      • favorise la production de radicaux libres → cellules

      • favorise le vieillissement de la peau (rides)

      • études récentes montrent que cet effet favorise également le cancer cutané

  • UVB :

    • pénètrent moins dans la peau (jusqu'à 1/3 du derme)

    • sont absorbés par l'ADN = effet chromophore pour l'ADN (max : 255 – 270 nm)

      • toujours efficace aux UVB environnant 280 nm

    • responsables du bronzage et des brulures à retardement

    • favorisent la production de radicaux libres oxygénés par la peau (effet chromophore sur d'autres molécules que l'ADN) → coups de soleil + inflammation à court terme

    • favorisent le vieillissement de la peau avec atteinte des fibres de collagène → cancer

 

Manifestations cutanées immédiates et retardées :

  • effets immédiats :

    • synthèse de la vitamine D3 (UVB surtout)

    • action calorifique des infrarouges (vasodilatation dermique = rougeur de peau)

    • pigmentation immédiate (phénomène de Meirowski) → assombrissement de l'épiderme surtout → mais qui disparaît en quelques heures seulement (UVA) → peau mate

  • effets retardés :

    • coups de soleil (= érythème actinique) – traduit une réaction inflammatoire provoquée essentiellement par les UVB

  • effets à long terme :

    • cancers cutanés (mélanomes et carcinomes)

    • vieillissement actinique ou hélioderme (détérioration des fibres)

    • immunosuppression = diminution des défenses immunitaires cutanées

 

Action anti-rachitique par synthèse de la vitamine D3 :

  • besoin de la vitamine D3 = facilite l'absorption du calcium et du phosphore

  • deux sources :

    • alimentaire

    • synthèse

  • la synthèse de provitamine D est catalysée par les UVB → vitamine D3 (cholescalciférol) par les cellules de l'épiderme

  • en pratique, une exposition du visage de quelques minutes

 

Le bronzage :

  • suite à une exposition raisonnable :

    • les UVA vont agir sur quelques précurseurs de la mélanine et provoquer une pigmentation cutanée immédiate

    • les kératinocytes envoient un message aux mélanocytes et permettent la production de cytokines

  • dans les jours qui suivent :

    • l'action des UVB (environ 297 nm) stimule les mélanocytes qui produisent la mélanine (pigmentation à retardement)

    • la mélanine va colorer les cellules voisines de l'épiderme

  • deux types de mélanine produite :

    • la phéomélanine (« mélanine des écossais ») qui est rouge et qui protège peu

    • l'eumélanine qui est noire et absorbe efficacement les UV

  • avec l'âge le nombre de mélanocytes diminue et on bronze moins

    • au fil des expositions solaires :

      • la peau devient moins élastique

      • les cellules se renouvellent moins souvent

      • les pigments colorés s'agglomèrent et forment des tâches cutanée (= « tâche séniles »)

  • les UVB vont provoquer un accroissement de la prolifération des kératinocytes qui mène à une augmentation de l'épaisseur de la peau (surtout des couches externe) et ainsi provoquer une diminution de la pénétration des UVB

    • pas le cas des UVA (cabine solaire)

 

Types de peau (phénotypes 0 → VI) :

  • phénotype 0 :

    • albinos

  • phénotypes I et II :

    • peau claire

    • blond

    • roux

    • I : bronzage quasiment impossible (on devient tout de suite tout rouge) → risque élevé de coups de soleil, de vieillissement cutané et de cancer

  • phénotypes V ou VI :

    • peau mate

    • l'eumélanine est produite en grande quantité

    • rarement de coups de soleil

    • les cancers cutanés sont beaucoup plus rares

 

Notion de capital soleil :

  • le capital soleil permet à chacun de lutter contre une quantité déterminée d'UV tout au long de sa vie

    • lorsque ce capital est épuisé :

      • la peau ne peut plus se protéger efficacement

      • nos cellules qui sont endommagées ne se réparent plus

 

Vieillissement cutané (héliodermie) :

  • premier effet chronique d'une exposition prolongée au soleil

  • se manifeste 10 à 20 ans plus tard →

    • rides profondes,

    • troubles de la pigmentation de la peau,

    • épaississement de l'épiderme,

    • atrophie de la peau avec une perte de souplesse de la peau,

    • perte d'élasticité

  • le vieillissement cutané est proportionnel à la dose d'UV reçu pendant la vie

  • les dégâts sont irréversibles

 

NB : 75 % de l'exposition totale à lieu pendant les premières 18 années de vie

 

Danger des UVA et UVB pour l'ADN :

  • UVA :

    • l'ADN n'absorbe que très peu les photons UVA

    • effet chromophore qui excite certaines molécules

    • induction d'espèces réactives de l'oxygène : RL

    • (A – B) → (A – B)° → A° + B° radicaux libre avec un électron non apparié

    • radicaux libres :

      • peuvent endommager les composants cellulaires (liquides, protéines) et même extracellulaire comme la matrice dermique

      • action génotoxique qui implique des processus oxydatifs → photochimie

      • UVA → transition électronique → énergie libérée transférée à un autre atome (à une autre molécule)

      • production typique :

        • radical hydroxyle (HO°)

        • oxygène singulet (^O2°) qui est très réactif

    • lésions majoritaires (ADN) → purines oxydées (principalement par l'oxygène singulet)

    • d'autres lésions secondaires :

      • dommages aux pyrimidines et les cassures de chaines (HO°)

      • formation de dimères cyclobutane (→ dimères de thymine)

  • UVB :

    • plus dommageable par le génome

    • directement absorbés par l'ADN

    • induction de réactions photochimiques → ADN

    • principales cibles :

      • bases pyrimidiques

      • thymine et cytosine

    • dans certains cas on a cassures des liaisons hydrogènes

    • si elles sont en position adjacente dans la double hélice il peut y avoir une réaction 2 à 2 en créant de nouvelles liaisons covalentes

      • création de dimères cyclobutanes

        • dimères de thymine

        • dimère de cytosine

    • la structure chimique des bases est fortement modifiée :

      • le fonctionnement de la cellule est perturbé

    • mort cellulaire ou mutation = processus impliqué dans l'apparition des tumeurs

 

Cancers cutanés :

  • carcinomes :

    • concernent 90 % des cancers cutanés

    • rarement mortels

    • la plupart ne se propagent pas vers d'autres organes, ce sont les carcinomes baso-cellulaires

    • mais certains se propagent un peu plus, ce sont les carcinomes spino-cellulaires

    • ils sont formés suite à une transformation des kératinocytes

    • le risque d'en développer est d'autant plus élevé quand on a :

      • la peau claire

      • été un peu trop exposé au soleil pendant l'enfance

      • été trop exposé de façon chronique, longtemps et souvent

    • guérison :

      • intervention chirurgicale superficielle (mais tôt !)

  • mélanomes :

    • 10%, plus rare

    • mais beaucoup plus dangereux

    • il s'agit de tumeurs malignes à partir de cellules mélanocytes de l'épiderme

    • ils se propagent très vite (quelques semaines, ou quelques mois) à d'autres organes (on parle de métastases par atteinte ganglionnaire)

    • les UVA et les UVB sont impliqués

    • les études montrent que :

      • ce sont les expositions intermittentes et violentes (coups de soleil) et particulièrement pendant l'enfance qui sont en cause

      • les peaux claires sont plus visées ...

    • la fréquence des mélanomes semble augmenter avec l'age (épuisement du capital soleil)

 

Effets sur l’œil :

  • les UV peuvent atteindre différentes structures de l’œil

  • UV < 260 nm sont arrêtés par la cornée (UVC)

  • UV < 400 nm sont pratiquement tous arrêtés par le cristallin

  • UVA :

    • jusqu'au cristallin voire plus loin chez l'enfant

    • les UVA sont les plus dangereux pour les yeux et peuvent être à l'origine d'une opacification du cristallin (ça s'appelle la cataracte)

  • UVB :

    • absorbés partiellement par la cornée

    • absorbés totalement par les structures qui constituent la chambre antérieur de l’œil

    • endommage plutôt les cellules de la cornée

  • les pathologies :

    • la photokératite :

      • l'exposition de la cornée aux UV qui déclenche une inflammation (= kératite) et une cécité passagère, réversible en quelque jours

    • atteinte de la rétine :

      • peu de risque d'altération aiguë de la rétine sauf en cas d'observation d'une source lumineuse très intense, ce qui peut entrainer une cécité irréversible

  • danger des UV artificiels (séances de bronzage, arc à souder) :

    • les paupières laissent passer une partie des UV en cas d'exposition intense

      • obligation de porter des lunettes

 

Sources artificielles :

  • trois sources d'UV artificielles :

    • sources d'UV artificielle professionnelle

    • sources d'UV artificielle pour le confort de vie

    • sources d'UV artificielle dans le milieu médical

  • généralement ce sont des lampes émettant des spéctres particuliers d'UV :

    • lampes à radiation produite par incandescence

    • lampes à radiation produites par décharges électriques dans un gaz (basse ou haute pression)

  • cas des lampes à décharge basse pression :

    • (éclairage bureaux, cabine de bronzage)

    • tubes fluorescents :

      • les UV produits, puis convertis en lumière visible (enduit fluorescent sur l'intérieur du tube qui absorbe les UV pour les transformer en lumière visilble)

      • selon les types de gz et de réactif fluorescent on va obtenir différents résultats :

        • UVB à spectre étroit (311 à 313 nm)

        • UVB à spectre large

        • UVA pur

  • dans le cas des cabines de bronzage, l'enduit fluorescent émet seulement les UVA

 

 

 

 

 

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Commentaires
A
Merci beaucoup ! Y aura t il la suite du cours avant la colle ?
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